~aphrose.

Nom : Aphrose.
Surnom : Aph', mais personne n'aura jamais le privilège de l'appeler comme ça.
Âge : Il doit bien avoir 9 années derrière lui...
Sexe : C'est un étalon, un mâle, un mec quoi.
Clan : Cérès.

Caractère : Aphrose, pour beaucoup de personnes, est très simple à décrire : Caractériel, railleur, méchant, sanguinaire, sadique, tortionnaire, dominant, pervers. C'est à partir de ces huit adjectifs que chacun se fait sa propre opinion sur la personnalité de notre joli bai : Caractériel, car il crie sur tout le monde, injure à tout va, n'est jamais content. Railleur, car tout ce que vous dites, il a une réplique pour y répondre et vous enfoncer. Méchant, car il aime faire du mal gratuitement, aux poulains, aux mères porteuses, aux vieillards. Sanguinaire car il aime le sang. Sadique car il vous fera souffrir jusqu'à votre dernier souffle. Tortionnaire, car il use et abuse de techniques toutes aussi barbares pour vous tuer, afin que vous souffriez le plus possible avant de rendre l'âme. Dominant, car il ne laisse personne lui dicter sa conduite. Pervers, car ce mot explique tout. Et je vous avouerais, je vous avouerais qu'il n'y a rien de plus vrai comme description.

Histoire : Aphrose n'a pas une histoire extraordinaire : cheval de corrida, il assista tout jeune au massacre de ses deux parents. La première victime fut sa mère, qui, trop vieille, finit par se faire empaler par la corne d'un taureau et mourut dans l'arène. Aphrose n'avait pas participé au spectacle, mais dans son petit box peu paillé, il vit un cheval, une jument, se faire trainer, une bâche recouvrant son corps. Il ne vit qu'un postérieur alezan avec une fine balzane qui remontait à peine au dessus du boulet. Même postérieur que sa mère. La seconde victime fut son père, qui fut tout simplement embarqué dans un camion clos et sale, d'où s'échappait une putride odeur de mort et de décomposition. Par la suite, Aphrose passa quelques années à galoper dans l'arène tout les jours pour échapper aux cornes du taureau, slalomant habilement autour du bovidé. Et quand ils triomphaient, son toréador et lui, il n'obtenait qu'une maigre satisfaction, attendant fébrilement le suivant, bien droit sur ses longs membres tremblants, le corps trempé, la crinière lui collant à l'encolure. Il voulait toujours et encore plus de morts et de sang. Un jour, alors que le palefrenier qui s'occupait des boxes avait oublié de bien verrouiller le loquet de l'étalon, celui-ci réussit à le défaire et s'enfuit en douce pendant la nuit. Commença alors une longue année de voyage pour le bai, enchainant multiples combats avec les étalons qu'ils croisaient, des simples errants comme des dominants. Il gagnait souvent, mais perdait aussi. Il exhibait fièrement ses cicatrices lacérant son corps musclé, certaines provenant encore des frôlements de la corne du taureau sur ses cuisses, son flanc, d'autres des sabots des chevaux qu'il défiait. C'est ainsi, après douze mois d'errance, qu'il arriva sur les terres d'Hellaë.

PUF : /
Où as-tu connu le forum ? Margot me l'a montré.
Ton avis dessus : Il a l'air sympa. =)
Autre chose à dire ? Je met la photo dans quelques minutes. ~ L'histoire est trèèès naze.