Est-ce que tu connais nos tristes pouvoirs et toutes ces fleurs que l'on trouve dans le noir, dans le fond ?

Nom : Istambul Palladium. Curieux nom, me direz vous, pour quelqu'un comme lui ! Il ne vous met en garde de rien, vous ne savez pas ce qu'il vous attend.
Surnom : Autrfois on lui donnais les surnoms comme Pally ou 'Bull. Puis le temps en venu, celui où le monde l'a connu sous le nom de "l'Autre".
Âge : 7 année de vils folies, d'infamies pure et de lâcheté.
Sexe : Etalon
Clan : Sedna

Caractère : Istanbul n'est pas ce que l'on pourrait appeler quelqu'un de commun. Fier, vil et fourbe, c'est un étalon dont il est très difficile de se débarrasser une fois qu'il vous as en ligne de mire. Entêté et sûr de lui, il reste pourtant faible et lâche, se contentant d'éviter les combats du mieux qu'il peux. Pas très fort, il sait cependant se battre mais use toujours de félonie pour battre ses adversaires. Lunatique, Palladium peut être totalement gentil et dénué d'arrières pensées pendant un temps et quelques heures plus tard, changer totalement. Frère jumeau de Casablanca Fireworks dont il est inséparable, l'espagnol est le cerveau. Non pas que Casablanca soit idiot, loin de là ! Cependant, Palladium reste le plus réfléchis et le plus doué en tactique, c'est pourquoi son frère s'en est toujours remis à son "aîné". Istanbul n'est pas quelqu'un de foncièrement méchant. Maisle Monde l'a formé à être ainsi, il ne sait pas être autrement. Mais quelques rares personnes l'on vu tel qu'il est réellement : doux, amical, sympatique et calme. Il est loyal, cependant il a trop peur de perdre, c'est pourquoi il passe sont temps à fuir les problèmes qu'il attire et lorsqu'il se bat, à tricher. Mais retenez le principal : il reste quelqu'un de fourbe, c'est une vraie enflure, un salaud sur jambes. Il lui est déjà arrivé de saillir quelques juments en représailles ou mise en garde. Lâche, vil et manipulateur il obtient toujours ce qu'il veux.

Histoire : Une famille. Deux branches différentes. Des jumeaux nés dans la famille secondaire, destinés à protéger la première de leur vie s’il le fallait. Dans le troupeau des jumeaux, la loi exigeait qu’on l’applique, et pour tous ceux qui ne s’ y soumettaient pas, la châtiment était la mort. Dès leur naissance, personne ne cacha rien aux deux jeunes poulains. Il savaient qu’ils allaient devoir survivre à ce que leur peuple appelait l’agogée. Une furieuse folie dans laquelle les enfants de la seconde famille devaient se battre pour leur vie, et, s’il le fallait, à tuer.
Le combat fut féroce, mais dès le début, le sort semblait jeté. L’agogée dura ne serait-ce qu’une journée ; seuls deux poulains étaient encore debout. Seuls deux sur trente-six. Les jumeaux. Ils étaient dans un état pitoyable, tenant à peine sur les jambes, mais ils étaient triomphants. Ils avaient refusé de se battre l’un contre l’autre, quand bien même l’agogée exigeait cela d’eux. Ils avaient détourné les règles, mais personne n’émis d’objection. Les jumeaux feraient d’excellents gardiens … S’ils avaient su.
Après l’agogée, suivait leur survie dans la nature. Lâchés dans un endroit qu’ils ne connaissaient pas, les deux poulains, alors devenus des yearlings, devaient retrouver le chemin de leur troupeau. Ce n’était pas sans danger au contraire ; c’était une épreuve, et comme toutes les épreuves, elle était d’une difficulté rare. Mais rien ne semblait pouvoir arrêter l’alliance des jumeaux ; il semblait que tous deux réunis, ils étaient invincibles.
Arrivés à l’âge adulte, ils firent ce pourquoi on les avait formés, ce pour quoi ils étaient nés ; protéger. Et oui, ils étaient invincibles.
Mais c’est bien connu, rien ne se passe jamais comme prévu. Que se passe-t-il, le jour ou, ces enfants que vous avez formés, ces enfants dont vous avez fait des tueurs, se retournent purement et simplement contre vous? Que pouvez-vous faire? Fuir. Ce n’est pas ce qui est arrivé. L’idée venait de Casablanca, qui en avait assez de trimer sous les ordres qu’on lui donnait. Il voulait le liberté, si douce, si amère dans sa bouche lorsqu’on lui rappelait qu’il devait protéger la première branche. Istanbul se rangea du côté de Casablanca.
Ce fut un massacre. Palladium avait tout organisé ; Firework se chargeait de l’élimination. A ce moment-là, les rumeurs se rependirent, sur cette famille entière décimée. Mais Casablanca et Istanbul se gardèrent bien de dire qu’ils en étaient les responsables.
Dès lors, ils se séparèrent un bref instant, puis leurs routes se recroisèrent de nouveau ; à chaque fois, ils se séparèrent en bons termes. Puis, finalement, ils finirent par rester ensemble, étant beaucoup plus efficaces.

PUF : Smarties
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